Ce week-end accueillait la troisième édition du festival Wine Nat White Heat dont les plus avertis d’entre vous aurons remarqué la subtile référence au deuxième album du Velvet Underground.
J’y étais bien sûr car avec un programme annoncé de musique indépendante et de dégustation de vins naturels, c’était difficile de ne pas y aller.
Cela se passait en deux jours :
Jour 1 : dégustation + concerts
Cequejevois c’est une petite séance de dégustation de vins naturels qui démarre dans le parc de la maison de quartier de Doulon. Une maison de quartier c’est l’autre nom de « salle des fêtes », et Doulon c’est une commune qui jouxte Nantes.
Les vignerons sont là et font goûter leurs vins sous des tentes. Pas possible de tout tester car je suis arrivé tard. Je sais qu’ils seront là également le lendemain donc ça va. Je retrouve les mêmes aficionados des bons plans nantais et certains sont en train de jouer au Mölky. Un dj fait son office dans un coin. Soleil et légère ivresse ; on est bien.
La journée se termine par des concerts à l’intérieur de la maison de quartier. Pas terribles j’ai trouvé, l’acoustique de la salle laissait vraiment à désirer. Mais l’avantage était que l’on pouvait passer des concerts au bar et aux galettes bretonnes facilement.
Jour 2 : dégustation + musique de fond
Bon, là c’était plus sérieux, on était dimanche soir quand même, dans Nantes.
Certains vignerons n’étaient pas très vaillants, la soirée précédente avait du mal à s’estomper dans leur tête. La musique était meilleure. C’était aussi l’occasion pour tout le monde de boire des (fonds de) verres gratos mais beaucoup, dont votre serviteur, achetaient quand même d’excellentes bouteilles pour 8-10 euros.
Les vignerons étaient tous originaires du pays d’Ancenis (Loire), au Nord-Est de Nantes, c’était local donc.
C’était bien bon tout ça.